Travail !

Vlà la première partie de l'intro bonnie...c'est pas encore terminé, il manque encore toutes les notes de bas de page mais si tu pouvais déjà jeter un oeil (les autres aussi sont les bienvenus huhu )






1. Introduction

Ce mémoire est demandé par la Chambre provinciale de Liège de la Commission royale des Monuments, Sites et Fouilles (CRMSF). Il consiste en un inventaire de dossiers photos conservés à la Chambre provinciale, à la numérisation de ces photos ainsi qu’à la création d’une base de données informatique reprenant pour chaque bien patrimonial les dossiers correspondants et les photos numérisées.

Chambre provinciale de Liège
3ème étage
Montagne Sainte-Walburge 2
4000 LIEGE

Intérêt du travail

Le but à terme est la mise en ligne de la base de données, donnant ainsi aux membres de la Commission royale un outil de recherche actuellement absent. Il permettra une recherche rapide et une visualisation immédiate de chaque photographie. Ce travail s’adresse en priorité aux membres de la Commission royale mais aussi à toute personne en relation avec la conservation du patrimoine immobilier en Wallonie désirant faire une recherche sur un bien patrimonial.
L’accessibilité et la recherche rapide de la base de données permettent d’arriver directement au bien recherché.
La bibliographie permet de retrouver des ouvrages de références pour chaque bien, donnant ainsi un diaporama assez large du patrimoine en Wallonie.

Notion de Patrimoine en Wallonie

Le Petit Larousse illustré définit le patrimoine comme « Bien, héritage commun d’une collectivité, d’un groupe humain »

Le Code wallon de l’Aménagement, du Territoire, de l’Urbanisme et du Patrimoine emploie lui ces termes : « Par patrimoine, il faut entendre l’ensemble des biens immobiliers dont la protection se justifie en raison de leur intérêt historique, archéologique, scientifique, artistique, social, technique ou paysager. »


En Wallonie, la gestion du patrimoine immobilier est une compétence de la Région Wallonne depuis 1988.

La conservation du patrimoine est gérée par trois institutions :

Dépendant de la Direction générale de l’Aménagement du territoire, du Logement et du Patrimoine, la Division du Patrimoine est la garante de la protection du patrimoine culturel immobilier en Wallonie en assurant sa conservation et son adaptation aux changements futurs.

La Commission royale des Monuments, Sites et Fouilles (CRMSF) est un organe consultatif indépendant sous la tutelle du ministre de la Région Wallonne ayant le patrimoine dans ses attributions. Elle assiste l’administration en émettant des avis sur tout bien immobilier présentant un intérêt historique, archéologique, scientifique, artistique, social, technique ou paysager.

L’Institut du Patrimoine Wallon (IPW), créé en avril 1999, a pour mission la gestion immobilière des biens classés en péril ainsi que la gestion d’un centre de perfectionnement aux métiers du patrimoine à l’ancienne abbaye de la Paix-Dieu à Amay.


Le patrimoine immobilier en Wallonie se décline en quatre catégories : monument, ensemble architectural, site et site archéologique. Le Code wallon de l’Aménagement, du Territoire, de l’Urbanisme et du Patrimoine les définit en ces termes :

- « à titre de monument: toute réalisation architecturale ou sculpturale considérée isolément, y compris les installations et les éléments décoratifs faisant partie intégrante de cette réalisation; »

- « à titre d’ensemble architectural: tout groupement de constructions urbaines ou rurales, en ce compris les éléments qui les relient, suffisamment cohérent pour faire l’objet d’une délimitation topographique et remarquable par son homogénéité ou par son intégration dans le paysage; »

- « à titre de site: toute œuvre de la nature ou toute œuvre combinée de l’homme et de la nature constituant un espace suffisamment caractéristique et homogène pour faire l’objet d’une délimitation topographique; »

- « à titre de site archéologique: tout terrain, formation géologique, monument, ensemble architectural ou site ayant recelé, recelant ou étant présumé receler des biens archéologiques. »

La Commission royale des Monuments, Sites et Fouilles.

Elle est organisée en une chambre régionale et en cinq chambres provinciales (Brabant wallon, Hainaut, Liège, Luxembourg, Namur). Elles sont divisées en trois sections chacune : section des monuments, section des sites et section des fouilles. Ses membres bénévoles sont choisis en fonction de leur expérience dans les domaines relevant de la protection du patrimoine : archéologie, architecture, histoire de l’art, géologie, géographie, botanique, …
Outre les missions de la chambre régionale et des chambres provinciales, de nombreuses activités de promotion du patrimoine sont organisées en collaboration avec la Commission royale : Journées du Patrimoine, journées de réflexions thématiques, expositions.

La Chambre régionale :

« - rend des avis au Ministre sur les propositions de classement pour les monuments, ensembles architecturaux, sites et sites archéologiques
- est consultée sur les projets de travaux aux biens inscrits sur la liste du Patrimoine exceptionnel de la Région wallonne ;
- adresse au Ministre des recommandations de politique générale en matière de sauvegarde du Patrimoine. »

Les Chambres provinciales :

« - rendent des avis sur l'inscription ou le retrait d'un bien immobilier sur la liste de sauvegarde ;
- sont consultées sur les projets de travaux et de fouilles archéologiques relatifs aux biens inscrits sur la liste de sauvegarde, classés, situés dans une zone de protection, localisés dans un site mentionné à l'Atlas des sites archéologiques ou présentant un intérêt patrimonial (cf. Inventaire du Patrimoine monumental de Belgique1). »2

Petit historique de la Commission royale

Le roi Léopold Ier met en place la Commission royale des Monuments par l’Arrêté royal du sept janvier 1835. La création d’un organe consultatif dans une matière réputée artistique peut sembler surprenante pour le jeune état belge. Mais cet intérêt pour le patrimoine historique est relatif à un contexte d’exaltation de la fibre patriotique où tout élément contribuant à renforcer le caractère national belge parmi la population est le bienvenu.
En 1860, on assiste à la création de comités de membres correspondants au niveau des provinces.
La Commission royale est dotée d'une section des sites par Arrêté royal du 29 mai 1912.
La loi du 7 août 1931 permet enfin à la Commission de mener une politique de protection du patrimoine avec des moyens juridiques. C’est de cette loi que découle la notion de classement telle que nous la connaissons encore aujourd'hui.
En 1989, la section des fouilles est adjointe à la Commission royale.

Depuis 1993, la Commission royale établi la liste du Patrimoine exceptionnel en Région wallonne1 ainsi qu’une liste de biens susceptibles d’être repris sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco.

Le classement

« Le classement est l'acte juridique par lequel la protection d'un monument, d'un ensemble architectural, d'un site ou d'un site archéologique est reconnue d'intérêt public.
Le classement vise à maintenir l'intérêt historique, archéologique, scientifique, artistique, social ou technique du bien protégé.
Dans les cas d'urgence, l'inscription d'un bien menacé sur la liste de sauvegarde assure sa protection pendant un an. »
Le classement d’un bien immobilier signifie la reconnaissance officielle de sa valeur patrimoniale et la nécessité de sa conservation. Des subsides pour les travaux de conservation ou de restauration peuvent être accordés pour les biens classés comme monument.
En fonction de la nécessité de conservation ou de mise en valeur d’un bien classé, une zone de protection peut-y être appliquée.

Les publications

Outre son propre Bulletin 1, la Commission royale publie également divers dossiers thématiques2 ainsi que la série Décors intérieurs de Wallonie 3. Des CD « Orgues de Wallonie4 » sont également disponibles.


Le Centre d’archives et de documentation de la Commission royale des Monuments, Sites et Fouilles

Depuis sa création en 1835, la commission royale a constitué un fonds documentaire extrêmement riche, permettant d’étudier l’évolution de notre patrimoine au fil du temps.
Dans le but d’une plus grande accessibilité et visibilité, le fonds auparavant situé à la Direction générale de l’Aménagement du Territoire, du Logement et du Patrimoine à Bruxelles a déménagé au siège de la commission royale des monuments, sites et fouilles situé au Vertbois à Liège.
Il est accessible sur rendez-vous gratuitement à toute personne ayant une recherche scientifique précise (chercheurs, professeurs, étudiants, membres de la CRMSF,…).

Principalement composé de dossiers nominatifs regroupant des archives dites « administratives » (courriers, avis, cahier des charges, options et techniques de restauration, suivis de chantier,…) de nature juridique, historique, archéologique ou environnementale, le fonds documentaire est complété par plus de 5000 documents iconographiques (photographies, anciennes cartes postales) et des dossiers thématiques (inventaire des orgues remarquables, des parcs et jardins,…). D’autres sections concernent le fonctionnement interne de la CRMSF (ordres du jour, préparation des publications, organisations de manifestations…) et les avis rendus jadis par la CRMSF sur les plans de secteurs, les tracés de voies routières, ferroviaires et navigables, les plans particuliers d’aménagement, sur l’implantation des conduites de gaz et des lignes électriques dans des sites classés ou zones abritant des biens classés ou la dénomination des rues.
Mais la plus grande richesse du centre reste les quelque 9000 plans et dessins, certains datant de la fin du XIXe et de la première moitié du XXe siècle d’une grande qualité esthétique, et qui sont parfois les derniers vestiges architecturaux de bâtiments aujourd’hui modifiés ou détruits.
Des ouvrages de référence, des monographies, des catalogues d’exposition et de musées et des périodiques et séries complètent le fonds documentaire.
Depuis le 1er juillet 2005, le dépôt du fonds de l’ancien Musée d’architecture de la Ville de Liège a enrichi les collections du centre.

T'as bien taffer mon salaud !

Ok je vay voir ça !

On peut toucher aux trucs entre guillemets ?

1. Introduction

Ce mémoire est demandé par la Chambre provinciale de Liège de la Commission royale des Monuments, Sites et Fouilles (CRMSF). Il consiste en un inventaire de dossiers photos conservés à la Chambre provinciale, à la numérisation de ces photos ainsi qu’à la création d’une base de données informatique reprenant pour chaque bien patrimonial les dossiers correspondants et les photos numérisées.

Chambre provinciale de Liège
3ème étage
Montagne Sainte-Walburge 2
4000 LIEGE

Intérêt du travail

L’objectif de ce mémoire est la mise en ligne de la base de données, proposant ainsi aux membres de la Commission royale un outil de recherche actuellement inexistant qui permettra, a terme, un accès rapide et une visualisation immédiate de chaque photographie via un outil de recherche performant.
Ce travail s’adresse en priorité aux membres de la Commission royale mais aussi à toute personne en relation avec la conservation du patrimoine immobilier en Wallonie désirant faire une recherche sur un bien patrimonial.
Le bien recherché devient ainsi plus rapidement et plus facilement accessible.
La bibliographie permet de retrouver des ouvrages de référence pour chaque bien, offrant ainsi une vue d’ensemble du patrimoine en Wallonie.

Notion de Patrimoine en Wallonie

Le Petit Larousse illustré définit le patrimoine comme « Bien, héritage commun d’une collectivité, d’un groupe humain »

Le Code wallon de l’Aménagement, du Territoire, de l’Urbanisme et du Patrimoine emploie lui ces termes : « Par patrimoine, il faut entendre l’ensemble des biens immobiliers dont la protection se justifie en raison de leur intérêt historique, archéologique, scientifique, artistique, social, technique ou paysager. »

En Wallonie, la gestion du patrimoine immobilier est une compétence de la Région Wallonne depuis 1988.

La conservation du patrimoine est gérée par trois institutions :

Dépendant de la Direction générale de l’Aménagement du territoire, du Logement et du Patrimoine, la Division du Patrimoine est la garante de la protection du patrimoine culturel immobilier en Wallonie en assurant sa conservation et son adaptation aux changements futurs.

La Commission royale des Monuments, Sites et Fouilles (CRMSF) est un organe consultatif indépendant sous la tutelle du ministre de la Région Wallonne ayant le patrimoine dans ses attributions. Elle assiste l’administration en émettant des avis sur tout bien immobilier présentant un intérêt historique, archéologique, scientifique, artistique, social, technique ou paysager.

L’Institut du Patrimoine Wallon (IPW), créé en avril 1999, a pour mission l’administration des biens immobiliers classés en péril ainsi que la gestion d’un centre de perfectionnement aux métiers du patrimoine à l’ancienne abbaye de la Paix-Dieu à Amay.


Le patrimoine immobilier en Wallonie se décline en quatre catégories : monument, ensemble architectural, site et site archéologique.
Le Code wallon de l’Aménagement, du Territoire, de l’Urbanisme et du Patrimoine les définit en ces termes :

- « à titre de monument: toute réalisation architecturale ou sculpturale considérée isolément, y compris les installations et les éléments décoratifs faisant partie intégrante de cette réalisation; »

- « à titre d’ensemble architectural: tout groupement de constructions urbaines ou rurales, en ce compris les éléments qui les relient, suffisamment cohérent pour faire l’objet d’une délimitation topographique et remarquable par son homogénéité ou par son intégration dans le paysage; »

- « à titre de site: toute œuvre de la nature ou toute œuvre combinée de l’homme et de la nature constituant un espace suffisamment caractéristique et homogène pour faire l’objet d’une délimitation topographique; »

- « à titre de site archéologique: tout terrain, formation géologique, monument, ensemble architectural ou site ayant recelé, recelant ou étant présumé receler des biens archéologiques. »

La Commission royale des Monuments, Sites et Fouilles.

Structurée en une chambre régionale et en cinq chambres provinciales (Brabant wallon, Hainaut, Liège, Luxembourg, Namur) qui sont elles mêmes divisées en trois sections chacune (section des monuments, section des sites et section des fouilles).
Cette commission dont les membres exclusivement bénévoles sont choisis en fonction de leur expérience dans les domaines relevant de la protection du patrimoine (archéologie, architecture, histoire de l’art, géologie, géographie, botanique, …) organise aussi de nombreuses activités de promotion de patrimoine en collaboration avec la Commission Royale (journées du Patrimoine, journées de réflexions thématiques, expositions.) en marge des missions de la Chambre Régionale et des chambres provinciales.

La Chambre régionale :

« - rend des avis au Ministre sur les propositions de classement pour les monuments, ensembles architecturaux, sites et sites archéologiques
- est consultée sur les projets de travaux aux biens inscrits sur la liste du Patrimoine exceptionnel de la Région wallonne ;
- adresse au Ministre des recommandations de politique générale en matière de sauvegarde du Patrimoine. »

Les Chambres provinciales :

« - rendent des avis sur l'inscription ou le retrait d'un bien immobilier sur la liste de sauvegarde ;
- sont consultées sur les projets de travaux et de fouilles archéologiques relatifs aux biens inscrits sur la liste de sauvegarde, classés, situés dans une zone de protection, localisés dans un site mentionné à l'Atlas des sites archéologiques ou présentant un intérêt patrimonial (cf. Inventaire du Patrimoine monumental de Belgique1). »2

Petit historique de la Commission royale

Le Roi Léopold Ier met en place la Commission royale des Monuments par l’Arrêté royal du sept janvier 1835. La création d’un organe consultatif dans une matière réputée artistique peut sembler surprenante pour le jeune état belge. Mais cet intérêt pour le patrimoine historique est relatif à un contexte d’exaltation de la fibre patriotique où tout élément contribuant à renforcer le caractère national belge parmi la population est le bienvenu.
En 1860, on assiste à la création de comités de membres correspondants au niveau des provinces.
La Commission royale est dotée d'une section des sites par Arrêté royal du 29 mai 1912.
La loi du 7 août 1931 permet enfin à la Commission de mener une politique de protection du patrimoine avec des moyens juridiques. C’est de cette loi que découle la notion de classement telle que nous la connaissons encore aujourd'hui.
En 1989, la section des fouilles est adjointe à la Commission royale.

Depuis 1993, la Commission royale établi la liste du Patrimoine exceptionnel en Région wallonne1 ainsi qu’une liste de biens susceptibles d’être repris sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco.

Le classement

« Le classement est l'acte juridique par lequel la protection d'un monument, d'un ensemble architectural, d'un site ou d'un site archéologique est reconnue d'intérêt public.
Le classement vise à maintenir l'intérêt historique, archéologique, scientifique, artistique, social ou technique du bien protégé.
Dans les cas d'urgence, l'inscription d'un bien menacé sur la liste de sauvegarde assure sa protection pendant un an. »
Le classement d’un bien immobilier signifie la reconnaissance officielle de sa valeur patrimoniale et la nécessité de sa conservation. Des subsides pour les travaux de conservation ou de restauration peuvent être accordés pour les biens classés comme monument.
En fonction de la nécessité de conservation ou de mise en valeur d’un bien classé, une zone de protection peut-y être appliquée.

Les publications

Outre son propre Bulletin 1, la Commission royale publie également divers dossiers thématiques2 ainsi que la série Décors intérieurs de Wallonie 3. Des CD « Orgues de Wallonie4 » sont également disponibles.


Le Centre d’archives et de documentation de la Commission royale des Monuments, Sites et Fouilles

Depuis sa création en 1835, la commission royale a constitué un fond documentaire extrêmement riche, permettant d’étudier l’évolution de notre patrimoine au fil du temps.

Le fond déménagera de la Direction générale de l’Aménagement du Territoire, du Logement et du Patrimoine à Bruxelles vers siège de la commission royale des monuments, sites et fouilles situé au Vertbois à Liège pour des raisons pratiques d’accessibilité et de visibilité.
Il est disponible sur rendez-vous gratuitement à toute personne ayant une recherche scientifique précise (chercheurs, professeurs, étudiants, membres de la CRMSF,…).

Principalement composé de dossiers nominatifs regroupant des archives dites « administratives » (courriers, avis, cahier des charges, options et techniques de restauration, suivis de chantier,…) de nature juridique, historique, archéologique ou environnementale, le fonds documentaire est complété par plus de 5000 documents iconographiques (photographies, anciennes cartes postales) et des dossiers thématiques (inventaire des orgues remarquables, des parcs et jardins,…). D’autres sections concernent le fonctionnement interne de la CRMSF (ordres du jour, préparation des publications, organisations de manifestations…) et les avis rendus jadis par la CRMSF sur les plans de secteurs, les tracés de voies routières, ferroviaires et navigables, les plans particuliers d’aménagement, sur l’implantation des conduites de gaz et des lignes électriques dans des sites classés ou zones abritant des biens classés ou la dénomination des rues.
Mais la plus grande richesse du centre reste les quelque 9000 plans et dessins, certains datant de la fin du XIXe et de la première moitié du XXe siècle d’une grande qualité esthétique, et qui sont parfois les derniers vestiges architecturaux de bâtiments aujourd’hui modifiés ou détruits.
Des ouvrages de référence, des monographies, des catalogues d’exposition et de musées et des périodiques et séries renforcent l’exhaustivité du fond documentaire.
Depuis le 1er juillet 2005, le dépôt du fonds de l’ancien Musée d’architecture de la Ville de Liège a enrichi les collections du centre.

Kézako ?

Merci

El Afdal a écrit:

Kézako ?

+1

hamozus2003 a écrit:

El Afdal a écrit:

Kézako ?

+1

Ben j'aide un peu Alu dans ses tournures de phrases sur sa présentation de mémoire, stoo.

Voilou l'intro au niveau personnel





La curiosité de découvrir un domaine qui m’était inconnu et la possibilité de faire un mémoire « original » du point de vue bibliothéconomique m’ont poussé à choisir le travail proposé par la Chambre provinciale de Liège.

Mon objectif a été de répondre aux attentes des membres de la Chambre provinciale et à celle du centre d’archives et de documentation en créant un outil bibliothéconomique précis à la fois complet, simple et rapide. Pouvoir combiner les différentes demandes afin que le travail soit accessible à tous les membres de la Commission royale mais aussi à toutes les personnes évoluant dans le domaine de la conservation du patrimoine a été une des priorités.


Les principales difficultés rencontrées au cours du mémoire sont principalement dues au séquençage du mémoire en différentes tâches : inventaire des dossiers photos, création de la base de données informatique, numérisation des photos et recherche de la bibliographie. Travailler sur chacune de ces parties et ensuite les combiner a demandé pas mal d’adaptations afin de réunir tout sous un ensemble unifié et complet.
L’identification des photographies a demandée parfois des recherches assez longues ou même s’est révélée parfois impossible sans l’aide des membres de la Chambre provinciale.
Les problèmes informatiques découlant de la création de la base de données et de l’incorporation des différentes tâches dans celle-ci ont été nombreux et fastidieux.
Mon manque de connaissance dans la conservation du patrimoine a demandé pas mal de temps d’adaptation et de compréhension des structures, définitions et organisations du patrimoine immobilier wallon.

Je te fais la deuxième partie dès que possible (dis moi d'abord si c'est bien):

La curiosité ce défaut, ce péché… Mais aussi ce formidable désir de comprendre, de connaître, d’apprendre, de s’investir dans un domaine inconnu, rompre l’os de la connaissance, en sucer la substantifique moelle et calmer ainsi l’ardeur inextinguible de sa soif de savoir.
C’est pour cela que j’ai choisi le travail proposé par la Chambre provinciale de Liège, pour cela, mais aussi pour la perspective de pouvoir proposer un mémoire « original » d’un point de vue bibliothéconomique.

Mon objectif tout au long de l’élaboration de cet exposé, a été de répondre aux attentes des membres de la Chambre provinciale et à celle du centre d’archives et de documentation en créant un outil bibliothéconomique de concision, à la fois complet, simple et rapide.
J’ai également mis un point d’honneur a rendre ce travail accessible à tous les membres de la Commission royale mais aussi à toutes les personnes évoluant dans le domaine de la conservation du patrimoine en combinant les différentes demandes du mieux possible.

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Les principales difficultés rencontrées au cours du mémoire sont principalement dues au séquençage du mémoire en différentes tâches : inventaire des dossiers photos, création de la base de données informatique, numérisation des photos et recherche de la bibliographie. Travailler sur chacune de ces parties et ensuite les combiner a demandé pas mal d’adaptations afin de réunir tout sous un ensemble unifié et complet.
L’identification des photographies a demandée parfois des recherches assez longues ou même s’est révélée parfois impossible sans l’aide des membres de la Chambre provinciale.
Les problèmes informatiques découlant de la création de la base de données et de l’incorporation des différentes tâches dans celle-ci ont été nombreux et fastidieux.
Mon manque de connaissance dans la conservation du patrimoine a demandé pas mal de temps d’adaptation et de compréhension des structures, définitions et organisations du patrimoine immobilier wallon.

Merci vieux frère

alucard222 a écrit:

Merci vieux frère

Merci vieille branche

Belge, voici le bousin, tu me diras ce que t'en penses:

La curiosité ce défaut, ce péché… Mais aussi ce formidable désir de comprendre, de connaitre, d’apprendre, de s’investir dans un domaine inconnu, rompre l’os de la connaissance, en sucer la substantifique moelle et calmer ainsi l’ardeur inextinguible de sa soif de savoir.
C’est pour cela que j’ai choisi le travail proposé par la Chambre provinciale de Liège, pour cela, mais aussi pour la perspective de pouvoir proposer un mémoire « original » d’un point de vue bibliothéconomique.

Mon objectif tout au long de l’élaboration de cet exposé, a été de répondre aux attentes des membres de la Chambre provinciale et à celle du centre d’archives et de documentation en créant un outil bibliothéconomique de concision, à la fois complet, simple et rapide.
J’ai également mis un point d’honneur a rendre ce travail accessible à tous les membres de la Commission royale mais aussi à toutes les personnes évoluant dans le domaine de la conservation du patrimoine en combinant les différentes demandes du mieux possible.

Le séquençage du mémoire en différentes tâches (inventaire des dossiers photos, création de la base de données informatique, numérisation des photos et recherche de la bibliographie) fut l’une des principales difficultés auxquelles j’ai du faire face tout au long de la réalisation du projet.
Travailler distinctement sur chacune des parties, combiner les différents éléments, faire moult concessions toujours dans un souci d’uniformité, de cohérence, et de simplicité, voila les grandes lignes de mon ouvrage, car des contraintes il y en a eu : problèmes techniques comme les différents soucis informatiques inhérents a la création d’une base de données, problèmes logistiques, j’ai encore en mémoire les multiples obstacles croisés lors de l’exercice d’identification des photographies, les recherches souvent longues, parfois vaines (a ce propos je tiens a remercier les membres de la Chambre provinciale pour leur aide précieuse) mais toujours fastidieuses, sans omettre de citer mon manque manifeste de connaissances dans le domaine de conservation du patrimoine, mes lacunes en compréhension des structures, mes déficiences en organisation du patrimoine immobilier… Autant d’écueils menaçants sur l’océan de l’apprentissage d’un métier, je pense être de bonne foi en affirmant avoir fait de mon mieux.

Bah, j'ai un truc en philo : Le désir doit-il toujours se conformer à la loi ?

Des idées please, c'est important.

Ben jdirais non.

J'attendais pas de réponse de toi graphiste imberbe

Bon, c'est pas du tout le moment owen 10, on bosse comme des crevards sarkozistes pour le forum et le site la, mais je vais te donner les notions et les idées.


d'abord qu'est-ce que le désir[notion] ? c'est la recherche perpétuelle, de la jouissance, la complétude, la béance, l'ataraxie (concept épicurien) le désir est une une tendance consciente, consciente d'elle même, consciente d'une pauvreté d'un manque, d'une absence, le désir nous dévalorise présentement au profit de l'absent, de l'inexistant qui va arriver, d'un mieux a venir. Le désir est définitivement une caractéristique de l'être humain, c'est ce qui l'individualise, c'est aussi un moteur.
Le désir est la recherche de la jouissance, si on pouvait jouir immédiatement des objets de désir alors il n'y aurait plus de désir, la jouissance est donc visée dans le désir, constamment, elle reste inatteignable, voir meme interdite pour que le désir survive.

Le plaisir est la satisfaction du désir la plus directe.

La problématique du désir, vaut-il mieux changer ses désir sur l'accessible (Descartes) vaut-il mieux changer ses désirs que l'ordre établi du monde ?
Tacher plutot a se vaincre que la fortune (troisième maxime de Descartes), selon lui il vaut mieux s'accoutumer a croire qu il n'ya rien qui ne soit totalement en notre pouvoir.

La problématique lorgne aussi vers le: Le bonheur est-il dans la réalisation ou dans la suppression des désirs?
Que nous conseille l'opinion, la morale, la loi, la societé comem conduite a tenir vis a vis du désir ?
Le postmodernisme encourage la satisfaction de ses désirs, il faut vivre ses reves, cest la formule publicitaire la plus banale.. Mais le désir est perpetuel, c'est le propre de l'homme, l'accession au bonheur via la satisfaction de ses désirs est le graal de l'humanité.
Dans ce cas la ne vaut il pas mieux supprimer ses désirs ? L'ascétisme et la suppression des désirs est-elle le vrai bonheur ?

"S’il faut formuler une morale du désir, celle-ci ne peut pas nier la nature du désir, mais doit s’accorder avec lui. Si sur la pente du désir se dresse l’obstacle d’une morale répressive avec l’ensemble de ses règles, il faut avoir assez de force, d’audace et d’orgueil pour être capable de la renverser. Il fallait que pour un temps accepter le rejet de toute morale et ne résister plus aux désirs. Eux seuls étaient capables de m’instruire. J’y cédais ". Quelle est la meilleure des morales ? Celle qui vous conseille d’aller à l’encontre de la morale, de placer l’épanouissement vital au-dessus des règles morales !"

Jtavais bien dit de dire non